le désir de peindre
Je peins depuis l'âge de 8 ans, des gouaches, un peu lourdes, un peu tristes. À 15 ans, je découvre la peinture à l’huile, j’y suis à l’aise, je m’amuse. Je prends quelques cours et la peinture est entrée dans ma vie.
Aujourd’hui, je commence avec l’acrylique, cela me permet de construire le tableau, de voir comment il remplit l’espace, de rectifier le dessin, de sentir les couleurs, de les assembler. Petit à petit, se crée un univers que je vais alors travailler à l’huile pour plus de profondeur, plus d’intensité.
Avec plus ou moins de constance, plus ou moins d’acharnement, la peinture reste à mes côtés. C’est un besoin, une nécessité, une sorte de baromètre de mon bien-être.
Exprimer une émotion à travers des formes et des couleurs, la partager, la faire vivre, la montrer au grand jour, c’est à chaque fois un nouveau défi, d’énormes frustrations et de belles satisfactions.
La question n’est pas d’avoir du temps pour peindre, mais d’en avoir la force.
Lorsque je peins, je sais que je vais bien.
Aujourd’hui, je commence avec l’acrylique, cela me permet de construire le tableau, de voir comment il remplit l’espace, de rectifier le dessin, de sentir les couleurs, de les assembler. Petit à petit, se crée un univers que je vais alors travailler à l’huile pour plus de profondeur, plus d’intensité.
Avec plus ou moins de constance, plus ou moins d’acharnement, la peinture reste à mes côtés. C’est un besoin, une nécessité, une sorte de baromètre de mon bien-être.
Exprimer une émotion à travers des formes et des couleurs, la partager, la faire vivre, la montrer au grand jour, c’est à chaque fois un nouveau défi, d’énormes frustrations et de belles satisfactions.
La question n’est pas d’avoir du temps pour peindre, mais d’en avoir la force.
Lorsque je peins, je sais que je vais bien.
